Waouh, quand j’ai la première fois essayé cette recette je ne m’attendais pas à autant l’apprécier… Le sarrasin qui croustille et les morceaux de dattes fondantes avec cette petite touche d’épices…Ce crunola est une tuerie ! Il faut anticiper un peu à cause des temps de séchage mais à part cela c’est très facile. J’en fais toujours une grosse quantité pour en avoir plusieurs semaines. Une recette sans gluten pour les goûters et petits encas à emporter !
Ingrédients
Pour 2 gros bocaux en verre de crunola
– 500 g de sarrasin
– 100 g de dattes ou pâte de datte
– 100 g d’abricots secs
– 100 g de boisson à l’amande
– 100 g de graines de tournesol
– 30 g de graines de sésame
– 20 petites dattes
– 2 pommes coupées en dés
– 1 pincée de sel
– 1 cc d’épices à pain d’épices (ou de la cannelle)
Préparation
Fais tremper le sarrasin dans 2 fois son volume d’eau et laisse-le tremper pendant une journée ou une nuit. Égoutte et rince-le bien. Puis dispose-le sur du papier sulfurisé puis le tout sur une plaque de ton four. Allume le four à 45°C chaleur tournante et enfourne pour au moins 12 heures. Le sarrasin doit être bien sec et croustillant sous la dent.
Mixe la pâte de datte ou les dattes, dont tu auras retiré le noyau, avec les abricots secs et la boisson à l’amande. Tu obtiens une sorte de caramel épais (délicieux!). Coupe la pomme en petits dés. Fais de même pour les 20 dattes.
Dans un gros saladier, mélange le caramel de datte avec le sarrasin séché, les graines (tournesol et sésame), les dés de pomme et datte et ajoute les épices. Mélange bien tout cela.
Étale sur 2 feuilles de papier sulfurisé disposé sur 2 grilles de four. Fais sécher à 45°C pendant environ 24 heures (le sarrasin doit être croquant, le reste étant plutôt fondant). Tu obtiens des gros chunks que tu peux casser et disposer dans des bocaux en verre hermétique.
Notes
– Tu peux conserver ton crunola longtemps ainsi et en profiter pour agrémenter tes crèmes desserts ou encore en faire un goûter, trempé dans un peu de lait végétal.
– Cette recette est inspirée du livre de cuisine d’Angèle Ferreux-Maeght, la guinguette d’Angèle, les nourritures bienfaisantes, page 58.
